Illusions de l'Histoire

Connement, nous évoquerons l’océan afin de décrire ce boxon… Un océan de particules vues par une particule interchangeable… Drôle, tout de même, que de se trouver en même temps à un bout et à l’autre de cette chose close… Á en perdre la boule… Ou mieux, à en abandonner la notion de boule, voire la notion même de notion… Lorsque l’on rencontre un clone, ou lorsque l’on se rencontre soi-même, on en frémit sans le moindre frisson… Et pourtant ça pète sévère dans le tordu intérieur ; où les explosives rencontres ont valeur d’idées, prémices aux décontractions à venir, gaz, étoiles, planètes, et tout ce qui s’ensuit, y compris ce que nous nommons guerre ou folie, et qui dans le fond relève avant tout de l’exercice de détente…

Certes, mais avant tout cela, avant la gigantesque folie faite particule ? Quelque chose ou rien ?

Foutre bordel ! Cette question de trop ! N’avez-vous donc rien suivi ? Avant et après, c’est du pareil au même ! La causalité faisant loi, les mêmes circonstances finissent toujours par se répéter, ou peu s’en faut, et nous voilà repartis pour un tour quasi similaire… Quant aux nuances, nous les appellerons illusions de l’Histoire…

A.G